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Ayachaku Aweche

Situé sur une bande de côté à l’ouest de l’Empire Atlec, l’ayachaku aweche est, comme le reste de la culture de ce peuple, très influencé par la culture atlèque. Bien que jouissant d’une certaine indépendance il n’en reste pas moins inféodé à l’Empire, situation qui est très bien vécue par la plupart des dirigeants aweches et source de peu de tensions. 

Organisation politique

L’ayachaku possède une organisation politique très pyramidale où cohabitent pouvoirs religieux et civils. A la tête du territoire se trouve l’ayachak. Il est l’autorité suprême et est considéré comme étant le représentant du qetec pour son peuple. Nommé à vie, il possède de nombreux pouvoirs comme celui de signer des traités, nommer les nobles qui dirigeront les régions, choisir ses ministres, accorder le droit de fonder une troupe, promulguer ou abroger les lois… Il est aussi à la tête de toute l’administration et de la justice civile. 

En parallèle de l’ayachak se trouve le grand conseil composé de 9 hauts prêtres. 7 de ces prêtres sont voué au culte d’un patchama, un au qetec des aweches et un dernier au qetec des atlecs. Ce dernier est toujours un envoyé de l’empire. Ces prêtres sont choisis par l’ayachak qui peut aussi (théoriquement) les révoquer. Ce conseil à de nombreux rôles dont celui de choisir l’ayachak parmi les enfants de son prédécesseur, conseiller ce dernier, nommer les hauts prêtres des régions…  Ils doivent être entendus par l’ayachak sur les projets de loi même si le conseil n’est pas tenu de suivre leurs avis. Enfin, ils occupent aussi le poste de ministres de l’ayachak chacun jouant un rôle précis dépendant souvent de sa spécialisation dans le culte. 

En dessous de ces deux entités se trouve une organisation pyramidale en trois échelons similaire à celle de l’Empire Atlec :

-la province : sukuti pukallca

-le district : sukuti kisayllapu

-le village

A chacun de ces échelons se trouve une direction conjointe composé d’un administrateur (paretche) et d’un prêtre de haut rang. Tous deux sont choisi et révocables par leur supérieur. Point important, les paretches sont toujours choisi parmis certaines familles nobles de manière à assurer une certaine continuité. Ainsi un paretche de village ne pourra jamais devenir paretche de district et inversement. De même un paretche de village ne pourra jamais prendre la tête d’un autre village. Cette règle connait cependant une exception notable mais très rare : si le dernier membre d’une famille meurt (sans descendant ou frère/sœurs), alors il est possible de choisir parmi une autre famille mais d’un même échelon. Contrairement aux atlecs, il est tout à fait normal qu’une femme occupe un poste de paretche quel qu’en soit le rang, même si cela est très rare au niveau des provinces. De plus la tâche n’est pas vraiment héréditaire et le successeur d’un paretche doit être explicitement choisi par son supérieur. Dans l’intervalle, c’est au prêtre avec qui le paretche partageait le pouvoir d’assurer la régence. En plus de ces deux institutions, il est très courant qu’un conseil local soit réunis avant de prendre une décision. La nature de ce conseil dépend fortement de la nature de la décision et l’on appel généralement les personnes que l’on estime directement concernées. 

A l’instar de l’Empire Atlec, prêtres et paretches disposent de domaines de compétences distincts :

-pour le paretche : l’économie, l’état-civil, les impôts, le domaine militaire, les infrastructures, les réserves alimentaires…

-pour le prêtre : le culte, la morale, les traditions, les fêtes, l’éducation…

A noter que l’on retrouve le système de charge de paretche pour de nombreuses activités : administration, organisation du marché, chargé des greniers, chargé d’entretien des routes, juge, enquêteur, percepteur d’impôts… ces charges sont toujours distribuées à des membres de la noblesse. Si certaines sont pérennes, il arrive souvent que ce soit de simples missions confiées selon les aptitudes de chacun.

Organisation sociale

La société de l’ayachaku aweche s’organise en trois groupes sociaux distincts à savoir la noblesse, le peuple et les esclaves. Bien que proche de celle de l’Empire Atlec sur de nombreux points, elle est une société très verrouillée (surtout pour sa noblesse) mais qui, au sein du peuple et des esclaves ne fait pas de distinction selon la culture ou l’origine des personnes. 

La noblesse

La noblesse regroupe un ensemble de famille censées découler du qetec des aweches. Elle est traditionnellement divisée en plusieurs strates allant de la plus haute (l’ayachak et ses descendants) à la noblesse en charge des villages. Les nobles ne peuvent se marier qu’entre eux et un enfant né de parents non nobles ne fera pas partie de cette caste. Cette exception ne s’applique toutefois pas aux mariages politiques avec des représentants des autres peuples. Dans ce cas la personne non aweche suivra un rituel visant à l’anoblir symboliquement permettant ainsi de ne pas transgresser la coutume. Si un noble venait à se marier avec une personne non noble il perdrait son statut instantanément. 

Société à part les nobles ne paient pas d’impôt, ne peuvent être engagés de force dans les armées, sont les seuls à pouvoir devenir prêtres et sont les seuls à pouvoir avoir des esclaves. Cependant si le statut est enviable sur de nombreux points, il s’accompagne aussi de contraintes. Chaque famille est attachée à un territoire où elle doit demeurer. Si le jeu des mariages permet une certaine mobilité géographique, les choses sont assez limitées. De plus les nobles n’ont pas le droit de s’adonner au commerce, de quitter leur terre (pour les nobles dirigeants) et sont astreints au respect de codes moraux très stricts. 

Le peuple

C’est là l’essentiel de la population de l’ayachaku. Elle est composée de la grande masse de population faisant vivre le territoire composé en très large majorité d’aweches. Bien qu’elle doive payer des impôts (en temps de travail principalement), et qu’elle se voit interdire certaines choses réservées à la noblesse comme le port de certaines couleurs, elle est globalement bien plus libre. 

Au sein de l’ayachaku aweche la population est divisée en deux catégories proches des catégories des non atlecs au sein de l’Empire:

-les sapayaks : cette catégorie regroupe les personnes ayant participé à au moins 5 campagnes militaires que ce soit auprès d’un Tawattan (de l’ayachaku ou de l’Empire Atlec) ou comme conscrit. Ce statut donne ses bénéfices au conjoint et à la descendance mineure de la personne. Ces personnes se voient accorder plus de terres, paient un peu plus d’impôt mais en contrepartie bénéficient de nombreux services gratuits (médecine, distribution de nourriture, scribe, participer aux réunions locales…) ainsi que de certains droits comme le fait de pouvoir boire en public (sans être ivre), consommer du cacao, manger de la viande hors de certains jours. Les sapayaks se reconnaissent par le port d’un bracelet avec ou sans frange porté au niveau des mollets. De forme variable il donne des informations sur la région, le district voire le village/la ville. 

-les pascassaks : ils forment la grande majorité du peuple (les 2/3). Loin d’être maltraités, ils bénéficient simplement de moins de droit que les sapayaks, mais paient moins d’impôts.

Les esclaves

Ils sont présents en nombre assez limité dans l’ayachaku et ne peuvent être au service que des nobles. Jamais d’origine noble, ils sont généralement très bien traités par leur maître et peuvent demander à être libérés de ce dernier en cas de traitement injuste. Cette situation est presque toujours temporaire car lors de grandes fêtes il arrive souvent que l’ayachak décrète des libérations massives d’esclaves. Il est ainsi rare qu’une personne reste esclave plus de 4 à 6 ans. Le principal rôle de ces derniers sera généralement de subvenir aux besoins de leur maître notamment en travaillant sur leurs terres agricoles et en les servant au quotidien. Hommes comme femmes, ils se reconnaissent non seulement à leur collier d’esclave mais aussi à leurs cheveux coupés ras (même pour les personnes mariées). Pour les plus chanceux d’entre eux, ils pourront avoir d’autres esclaves (du même maître) sous leur contrôle mais aussi des personnes libres. Il arrive même que des esclaves possèdent un statut si intéressant qu’après leur libération ils demandent à redevenir esclave de leur maître. 

A l’image de ceux de l’Empire Atlec on retrouve trois grands types d’esclaves :

-les esclaves volontaires: ce sont généralement des personnes qui en échange du paiement d’une dette ou se trouvant dans une situation d’extrême pauvreté obtiennent d’un noble une certaine somme en échange de quoi ils deviendront esclaves au bout d’un certain temps ou une fois la somme dépensée. Surement les esclaves les mieux traités, ils peuvent transmettre leur charge d’esclave à un autre membre de leur famille avec l’accord de leur maître. Cette esclavage possède une durée déterminée dès le versement de la somme par le noble. 

-les esclaves de droit : ce sont des personnes qui sont condamnées à l’esclavage par la justice. Cela peut être en réparation d’un préjudice envers le noble mais aussi envers la communauté. Cet esclavage comme le précédent a toujours une durée déterminée.

-les esclaves perpétuels : moins libres que les autres se sont des esclaves ayant été capturés à la guerre ou enfants d’esclaves. Ils peuvent être cédés d’un noble à un autre mais ne sont qu’à moitié sujets de commerce. En effet au sein de l’ayachaku, les nobles ne peuvent pas faire commerce d’esclaves entre eux mais cela ne les empêchent pas de pouvoir en acheter ailleurs.

Justice

La justice est une question importante concernant les aweches. Interdisant toute vengeance privée, et sanctionnant grandement ceux qui s’y tentent, la justice aweche est assez proche de la justice atlèque. 

Fonctionnement :

Dans l’ayachaku, la justice est normalement rendue par un juge dont c’est le métier, un prêtre en ayant la charge ou le représentant d’une corporation ayant obtenu ce droit. Dans tous les cas la justice est toujours directe et toute représentation est écartée. Ainsi si une personne n’est pas présente à son procès, le jugement sera presque toujours tranché en sa défaveur. Les procès suivent une procédure et des règles très strictes et tout manquement (couper la parole du juge ou de l’autre, élever la voix, mal se comporter…) peut entrainer de lourdes conséquences. Pour trancher un juge sera parfois aidé de professionnels du droit, pourra faire appel à des témoins, à un enquêteur, demander un traducteur… et une fois la décision prise, la sanction sera retranscrite par écrit et annoncée publiquement par des crieurs sur la place principale et proche du lieu d’habitation du coupable.

Dans l’ayachaku, la justice se divise en trois branches bien distinctes :

-la justice civile : elle découle de l’autorité du paretche. Si à l’échelle des villages elle sera souvent rendue par le paretche lui-même pour les petites affaires, pour une affaire importante ou dans les grandes villes elle est rendue par un juge professionnel nommé par ce dernier. Cette justice concerne : l’économie, l’état-civil, les impôts et tout ce qui ne concerne pas les autres juridictions. Un appel est possible en faisant une demande au paretche de rang supérieur. Libre à celui-ci d’accepter ou non. 

-la justice religieuse : elle est rendue par le prêtre local de plus haut rang. Elle touche tout ce qui relève du sacré, du respect des traditions, de la morale (meurtre, ivresse, vol…) et s’applique automatiquement dès lors qu’un prêtre est concerné. Ces décisions doivent normalement prendre en considération les coutumes et traditions du peuple de la personne et le prêtre se fera souvent aider d’un représentant de ce dernier (idéalement un prêtre) pour rendre son verdict. Ici aussi un appel est possible pour les affaires importantes en en faisant la demande au prêtre de haut rang de l’échelon supérieur. 

-la justice corporatiste : cette justice est une des grandes particularités de l’ayachaku. Les corporations locales de métiers ont la possibilité de rendre la justice sur leurs membres et dans leur domaine d’activité. Cela ne concerne que les affaires strictement professionnelles (maltraitance d’apprenti, malfaçon, non-respect de décisions…). Elle est rendue par un juge ayant obtenu ce droit à la suite d’une demande auprès du paretche local. 

Dans tous les cas si une hésitation existe concernant la justice applicable le jugement sera fait conjointement par les juridictions concernées mais la décision finale qui prévaudra sera dans l’ordre celle du prêtre, puis du juge civil et enfin celle de la corporation. S’il existe une plus grande latitude concernant les corporations, le rôle du juge sera de déterminer quel texte appliquer à la situation. Il n’y aura pas de place pour l’interprétation de ces derniers ou l’innovation juridique. 

Sanctions :

Dans l’ayachaku la sanction choisie ne dépend que de la loi. Cependant cette dernière prévoit des possibilités selon la nature du délit, le contexte, l’intentionnalité ou le statut des personnes. Une personne noble sera par exemple bien plus lourdement sanctionnée qu’un non noble. Une fois tous les éléments déterminés, le juge appliquera strictement le texte concerné.

Les sanctions légales peuvent répondre à deux logiques :

-punir le responsable : l’un des buts essentiels sera souvent de sanctionner un comportement. La gravité de la sanction sera très variable. On peut y trouver un simple rappel à l’ordre, une peine infamante (doigt coupé, marque, castration…), une sanction de droit (réduction de terre, perte de statut, retrait d’un droit spécifique…), des sanctions physiques (coups de bâton ou lapidation) ou encore la peine de mort. Contrairement aux atlecs, l’ayachaku voit la mise en esclavage comme une punition et non une réparation.

-réparation à la communauté : c’est lors de cas où les victimes sont multiples, non identifiables strictement où qu’il s’agit d’un comportement portant atteinte à la communauté dans son ensemble (ivresse publique, exhibitionnisme…). Dans ce cas l’individu sera souvent contraint d’effectuer certaines tâches soit en faisant des travaux d’intérêt généraux soit en devant servir le temple local durant une période plus ou moins longue.

A noter qu’une victime identifiée aura toujours droit à une réparation. Cette dernière ne vient pas du coupable, chose qui pourrait être vue comme indigne et insultante pour la victime mais du paretche. En effet étant le dirigeant du lieu, il est considéré comme ayant échoué dans sa mission si des crimes et délits se produisent et c’est donc à lui d’offrir une réparation. Cette réparation n’est cependant pas déterminée par la loi mais choisie par le paretche. Elle peut consister dans l’accord de terres plus importantes, le versement d’une somme, le don de divers biens en remplacement, la suspension d’impôt de la famille…

Economie

La question économique est très importante dans l’ayachaku qui accorde une grande importance au commerce. Relié au réseau commercial atlec, l’ayachaku bénéficie d’un réseau routier bien développé reliant les villes et villages. On y trouve des marchés presque quotidiens dans les villages et les villes y possèdent souvent plusieurs marchés. Ces marchés sont autant des lieux où se vendent les productions locales que les produits apportés de loin par les marchands. Ce riche réseau routier et cette importance du commerce a permis une grande spécialisation de certains villages (tissus, coton, céramiques, colorants…). A noter que les monnaies utilisées, leurs usages et leurs valeurs sont celles de l’empire atlec. 

Si le commerce est important, il n’est pas non plus le seul moyen de survie loin de là. Tout d’abord chaque famille se voit attribuer un terrain plus ou moins grand selon son statut, lui permettant théoriquement de cultiver ce qui est nécessaire à sa survie. La taille de ce dernier est déterminé en fonction du statut social mais aussi de la taille de la famille. Si ces dernières se nourrissent en grande partie sur ses lopins de terre, il est aussi fréquent qu’elle se spécialisent au moins partiellement dans certaines cultures dont elles iront vendre le surplus au marché. De plus à l’échelle locale et surtout dans les petites communautés ou avec le voisinage, l’économie de la dette (je te donne X aujourd’hui et tu me donnera Y plus tard) est très importante. 

Une autre limite au tout commercial est la présence de nombreux services gratuits pour tous où une partie de la population. D’une part on retrouve dans l’ayachaku les pascanachillcas (auberges publiques), les champs publics, l’école pour tous, l’accès à la justice, à l’administration ou encore aux rites funéraires de son peuple qui sont totalement gratuits pour tous. Pour les sapayaks et les nobles, on peut y ajouter de nombreux autres services comme l’accès aux soins, les médecins étant tous au moins partiellement rémunérés par les puissances locales. 

A noter que l’une des grandes particularités de l’ayachaku est son organisation du travail. En effet de nombreuses activités sont regroupées en corporations. Ce regroupement se fait toujours à l’échelle locale (district) voir dans certains cas à l’échelle de la région. Elles ne concernent que certaines activités ou un certain savoir-faire est attendu (médecins, marchands, céramistes, teinturiers, plumassiers…). Ces corporations sont très indépendantes vis-à-vis des pouvoirs édictant leurs propres règles et régulant plus ou moins les activités. Leur but est de maintenir une certaine qualité dans les productions et éviter toute malfaçon ou charlatanisme. Il leur arrive aussi de fixer des prix de manière à éviter les abus voir d’imposer un rationnement dans les cas de pénurie. Elles assurent aussi que les membres se respectent entre eux et font leur possible pour éviter les conflits internes ou la concurrence jugée source de conflits. Ces corporations sont très ouvertes et n’empêchent pas d’entrer dans le métier. Au contraire toute personne pratiquant l’activité d’une corporation et en proposant les fruits aux autres (gratuitement ou non) tombe sous leur juridiction. Très informelles dans leur fonctionnement elles se réunissent souvent dans des lieux dédiés et sont dirigés par les plus anciens et influents de leurs membres.

Organisation militaire

L’ayachaku est loin d’être une grande puissance militaire. En effet, de par sa localisation géographique cela fait plusieurs siècles qu’il ne fait face à aucune menace extérieure. De plus très attaché à ses traditions, et étant très prospère, les mouvements de révolte sont rarissimes. Dans ce contexte, l’ayachaku n’entretient pas d’armée régulière mais simplement quelques troupes de garde pour protéger les villes et parfois certaines routes commerciales. 

Cela ne signifie pas pour autant que l’ayachaku est sans défense. En effet on y trouve des tawattans similaires à ceux de l’Empire Atlec. Toujours d’origine noble, il s’agit de personnes ayant obtenu de la part de l’ayachaku, le droit de former de petites armées privées. Cependant contrairement à l’Empire Atlec, les troupes d’un tawattan sont ici entretenues par sa région d’origine autant que par ceux qui l’emploieront. En effet en l’absence de menace directe, la quasi-totalité de ces tawattans servent de mercenaires à l’Empire Atlec. Souvent d’une taille limitée (1.000 à 3.000 hommes) ses troupes sont surtout composées de volontaires accomplissant leur service militaire pour devenir sapayak et de quelques guerriers de métier. Ces troupes sont souvent plutôt bien équipées et même un nouveau venu se verra remettre une armure légère en coton.

Diplomatie

La diplomatie n’est pas vraiment un souci de l’ayachaku. En effet ce dernier n’est en contact direct qu’avec l’Empire Atlec avec qui il est en très bons termes de longue date. La relation avec ce dernier est de plus une relation de vassalité très souple puisque l’Empire veille de longue date à ne pas trop intervenir dans les affaire de l’état aweche et maintenant un tribut très bas. Au-delà de cela l’ayachaku est très renfermé sur lui-même ne se souciant pas vraiment des autres puissances et n’ayant aucun intérêt à la conquête de nouvelles terres, au fait de nouer des alliances ou à l’envoi d’ambassades. Les relations avec les autres puissances se bornent alors généralement à suivre la position de l’Empire Atlec sachant pertinemment que l’ayachaku n’encoure aucun risque. 

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